Dans Microsoft 365, qu'est-ce qu'un tenant.
Aussi appelé entité locataire, le "tenant" est l'espace où une organisation place ses données et les clientèles utilisatrices collaborent.
Blogue sur la gestion de l'information: documentaire, contenu et connaissances
Très souvent, on entend des plaintes et des récriminations au sujet de l’échec de l’implantation de SharePoint dans les organisations. Le plus souvent, on croit que c’est le damné SharePoint le coupable. Il n’en est rien. Comme chacune des organisations est différente, il peut y avoir plusieurs facteurs de succès ou d’échec à son implantation. Voici le résumé de quelques-unes des raisons de l’échec de son implantation.
Raison no 1 : Toutes les ressources financières sont
attribuées à la personnalisation, à la configuration, au développement
La première chose que les organisations font au moment de l’acquisition
de SharePoint est du développement coûteux et de la personnalisation. C’est
comme acheter des rideaux pour une maison alors qu’elle n’est même pas
construite. Ne vous méprenez pas sur l’importance du visuel. La
personnalisation offre un aperçu de SharePoint plus convivial, mais la
collaboration ne sera pas enrichie par des diaporamas ou des effets de survol
de menu fantaisistes. Ce qui améliorera la collaboration est l’architecture de
l’information, les métadonnées, une bonne conception du design et une
navigation adaptée. C’est particulièrement important pour qui utilise
SharePoint Online.
Raison no 2 : Ne pas accorder de temps à la formation
« Mes employés n’ont pas eu besoin de formation pour
utiliser Word, Excel ou Dropbox. Donc, ils n’en ont pas besoin pour
SharePoint ». Il s’agit d’un commentaire souvent prononcé par les
gestionnaires seniors. Cette affirmation est de la foutaise.
SharePoint n’est pas Word, Excel ni Dropbox. La complexité
de SharePoint surpasse facilement les logiciels énumérés précédemment.
Autorise-t-on une personne à conduire une voiture sans avoir préalablement
suivi la formation adéquate? Monterions-nous à bord d’un avion dont le pilote
n’a pas suivi une formation appropriée? Alors, pourquoi permettre le personnel
à collaborer et échanger des informations stratégiques sans l’avoir fait? On ne
parle pas ici de formation offerte sur de longues périodes comme trois
journées, mais plutôt d’une formation sur les principales fonctionnalités et celles
utilisées fréquemment; cette formation est indispensable. Cela vaut largement
l’investissement.
Raison no 3 : Les bonnes pratiques ne sont pas suivies
concernant l’architecture de l’information
Même si l'on passe du temps au développement personnalisé et
à la formation, on a besoin également de s’assurer de suivre les meilleures
pratiques de l’industrie. Cela inclut une hiérarchie adéquate, la navigation,
les métadonnées, la configuration du thésaurus et de la recherche.
Raison no 4 : L’implantation de SharePoint uniquement
comme dépôt pour le partage de documents
SharePoint n’est pas seulement un classeur pour déposer des
documents partagés. Si c’est l’utilisation qui en est faite, on ne profite pas
pleinement des avantages des outils de collaboration. Certaines limitations
techniques seront très probablement rencontrées et l’implantation de SharePoint
ne sera jamais une réussite dans l’organisation.
Raison no 5 : Anticipation des mauvaises expériences
Comme on peut avoir une mauvaise expérience avec une personne, on peut l’avoir vécu également avec SharePoint. Lorsqu’on a une expérience désagréable avec une personne, on ne doit pas s’appuyer sur celle-ci dans les autres relations nouvelles. Il est possible que ce fût le cas en ce qui concerne une très mauvaise expérience dans le passé avec SharePoint 2007 ou 2010. Le passé doit demeurer derrière nous, car dans ce cas SharePoint a changé drastiquement depuis cette époque. D'une application lourde et compliquée, il est devenu une plate-forme de collaboration très moderne et intuitive. Microsoft publie des mises à jour de SharePoint en ligne et des autres outils de Microsoft 365 plus rapidement que vous ne le dites « Sharepoint ».
Ce qu'il faut faire
Au final, les utilisateurs-trices finaux doivent être au cœur
du processus d’implantation afin de s’assurer de l’adhésion et de la réussite
du projet.
*Article largement inspiré de la traduction d’un texte de Gregory Zelfond Why your SharePoint Implementation Failed
Chacun.e cherche à rendre les outils de collaboration le plus efficients possibles. C'est pourquoi je me suis attardée à recueillir les 50 meilleures pratiques pour SharePoint Online et Microsoft Teams à ce jour. Bien entendu, ces bonnes pratiques sont amenées à changer avec la mouvance et le développement de ces outils technologiques.
Toutes ces règles proviennent de sites "sérieux" et des recommandations de Microsoft. Je peux donc vous assurer que ces informations sont formelles.
Règle no 1 : Définir une politique organisationnelle en matière de création de sites.
Règle no 2 : Toute création de sites SharePoint et d’équipe Microsoft Teams doit suivre un processus décisionnel et répondre aux règles de gouvernance établies.
Règle no 3 : Il est déconseillé de faire des sous-sites
Règle no 4 : Créer d’abord le site SharePoint
Règle no 5 : Désigner au moins deux propriétaires, soit le gestionnaire et le superutilisateur
Règle no 6 : Le canal général sert à l’administration.
Règle no 7 : Créer des canaux publics orientant les discussions.
Règle no 8 : Ne pas créer de canaux privés. Privilégier les équipes Microsoft Teams privées.
Règle no 9 : Tout élément apparaissant dans le fil d’Ariane (URL) suivant les règles d’écriture
Règle no 10 : Tous les champs et étiquettes respectent les règles d’écriture.
Règle no 11 : Des règles d’écriture sont nécessaires
Règle no 12 : Les sites, équipes sont dans un français conforme à la Charte de la langue française.
Règle no 13 : Utiliser des modèles de collection de sites
Règle no 14 : Utiliser les sites concentrateurs pour maximiser l’efficience.
Règle no 15 : Tous les sites sont construits à partir du modèle de site
Règle no 16 : Les informations obligatoires doivent se retrouver dans le site modèle.
Règle no 17 : La langue de la solution est le français.
Règle no 18 : Le site modèle assure une standardisation.
Règle no 19 : Le site doit avoir une apparence professionnelle et basé sur le modèle nommé « Moderne »
Règle no 20 : La bibliothèque modèle est intégrée au site modèle.
Règle no 21 : L’affichage « Tous les documents » doit demeurer intègre.
Règle no 22 : Définir des pages de références.
Règle no 23 : Créer des collections de sites basées sur les types d’autorisations
Règle no 24 : Organiser le contenu ayant le plus de valeur
Règle no 25 : Fixer un nombre maximal d’éléments dans une bibliothèque
Règle no 26 : poser des questions permettant d’identifier les besoins des utilisateurs
Règle no 27 : Identifier les applications centrées sur les documents et les hiérarchiser en fonction de leur impact et faisabilité.
Règle no 28 : Organiser l’information en fonction des activités et des processus de travail
Règle no 29 : Créer au moins deux affichages publics pour chacune des bibliothèques
Règle no 30 : Activer la gestion des versions
Règle no 31 : Activer la gestion des enregistrements
Règle no 32 : Classer les documents dans des ensembles de documents
Règle no 33 : Centraliser les métadonnées dans la banque de termes du centre d’administration de SharePoint.
Règle no 34 : Toutes les métadonnées sont consignées dans le registre des métadonnées institutionnelles
Règle no 35 : Utiliser le concentrateur de type de contenu
Règle no 36 : Inclure le type de contenu Profil-base au modèle de site SharePoint
Règle no 37 : Attribuer un profil de métadonnées pour chacune des bibliothèques de SharePoint.
Règle no 38 : Déterminer au moins deux taxonomistes pour la banque de termes.
Règle no 39 : Appliquer des durées de conservation aux équipes Teams temporaire.
Règle no 40 : Affecter les droits et accès en fonction du contenu de l’information
Règle no 41 : Octroyer les accès en tant que propriétaire UNIQUEMENT aux personnes ayant suivi la formation avancée pour super utilisateur.
Règle no 42 : Ne pas créer de groupe 365
Règle no 43 : Développer un processus clair pour les demandes d’accès
Règle no 44 : Utiliser un calendrier de conservation
Règle no 45 : Identifier les rôles clés
Règle no 46 : Désigner un expert de site dans chaque équipe pour résoudre les problèmes et assurer la liaison avec un administrateur SharePoint.
Règle no 47 : Établir un calendrier d'audit et désigner des propriétaires de contenu pour les grandes listes et les bibliothèques.
Règle no 48 : Offrir une formation à l’ensemble du personnel
Règle no 49 : Fournir une formation intermédiaire aux nouveaux propriétaires de sites
Règle no 50: Adapter une gestion du changement basée sur un changement de culture organisationnelle
Meilleures
pratiques en matière d’organisation du contenu pour la recherche dans
SharePoint Server
Best
Practices for SharePoint Permissioning
Aperçu
: Gouvernance de sites, autorisation et partage pour les propriétaires de sites
Personnaliser
les autorisations pour une liste ou une bibliothèque SharePoint
Les
bonnes pratiques en gestion documentaire et les pièges à éviter
Les
bonnes pratiques pour le nommage des fichiers et dossiers
Stratégie
d’affectation de noms de groupes Microsoft 365
Utiliser
des modèles pour créer différents types de sites SharePoint
Administration
de SharePoint Online, étape par étape
Utiliser
Microsoft Teams lorsqu’on a déjà SharePoint
SharePoint
2013: Portails des Bonnes Pratiques
Meilleurs
pratiques d'organisation d'équipe dans Microsoft Teams
9 fonctionnalités bluffantes des bibliothèques de documents SharePoint