Des centaines de documents volés se retrouvent à l'Université Harvard et à Chicago: ils ne seront pas rapatriés, par manque de budget et d'intérêt.
Tels sont les termes utilisés par la journaliste Isabelle Paré dans le journel Le Devoir du 23 novembre 2010.
Bien que ces documents sont beaucoup plus difficiles d'accès aux Québécois, ils sont pourtant en sécurité, puisque de grandes institutions se chargent de les conserver.
En attendant leur retour en sol québécois, la BAnQ devrait peut-être songer à les inventorier pour que d'éventuelles personnes intéressées à les consulter sachent où trouver ces informations.
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